Marché immobilier du (Grand Montréal)

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Les ventes résidentielles dans le Grand Montréal ont bondi de 32 % en novembre 2021, par rapport au même mois de 2020, ce qui constitue un niveau record.

Alors que les inscriptions ont enregistré une baisse de 15 %, ceci a suscité une pression sur les prix qui ont grimpé de 23 %, toujours par rapport à la même période de l’an dernier selon les chiffres dévoilés jeudi par l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).

 

Augmentation des ventes de propriétés au Québec

Dans le secteur de Saint-Jean-sur-Richelieu, en Montérégie, l’augmentation des ventes a toutefois été d’à peine 3 %, ce qu’on explique par une baisse record des nouvelles inscriptions, un phénomène mesuré depuis plusieurs mois. Parmi les catégories d’immeuble, ce sont les plex de deux à cinq logements qui ont connu le plus fort engouement avec des ventes en croissance de 34 %. Les copropriétés (+31 %) et les maisons unifamiliales (+31 %) ne sont pas en reste. Au chapitre des nouvelles inscriptions en novembre dans la région métropolitaine, il est question d’un bond de 14 % pour les copropriétés et de 7 % pour les plex, ce qui est «du jamais vu depuis 2012 et 2014, respectivement, pour un mois de novembre», selon l’APCIQ.

«Nous observons également une hausse historique de 57 % de nouvelles inscriptions pour ce qui est des copropriétés sur l’île de Montréal, un sommet depuis que le système Centris des courtiers immobiliers compile les données de marché (2000)», a dit Charles Brant, directeur du Service de l’analyse du marché à l’APCIQ, par communiqué.

En revanche, les propriétaires de maisons unifamiliales ont été moins pressés de les mettre en vente, avec une baisse non négligeable de 38 % des nouvelles inscriptions le mois dernier.

«Avec des conditions de marché toujours très à l’avantage des vendeurs, les prix médians continuent de connaître de très fortes augmentations pour l’unifamiliale (+23 %), alors qu’elles tendent à s’essouffler pour la copropriété et les plex (+9 %)», a indiqué l’APCIQ. De novembre 2020 à novembre dernier, le prix médian d’une maison unifamiliale est ainsi passé de 352 000 $ à 435 000 $, alors qu’il a progressé de 290 000 $ à 316 000 $ pour un condo et de 579 000 $ à 630 000 $ pour un plex.

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Explosion des ventes dans la région de Québec

Dans la région de Québec, les ventes ont explosé de 50 % en novembre avec 1019 transactions au compteur, marquant un nouveau record selon l’APCIQ. Les prix ont crû dans toutes les catégories d’habitation (+7 %), mais le nombre de nouvelles inscriptions a reculé de 43 %.

Les ventes ont fait un saut spectaculaire de 127 % dans la périphérie nord, devant la Rive-Sud (+45 %) et l’agglomération de Québec (+41 %).

Les ventes pour les plex de deux à cinq logements ont été 91 % plus nombreuses en novembre dernier par rapport au mois correspondant de 2020, alors qu’on parle d’une croissance de 82 % des ventes pour les copropriétés et de 36 % pour les maisons unifamiliales.

On note toutefois une «chute historique des inscriptions en vigueur pour un huitième mois consécutif pour l’unifamiliale (-53 %) et les plex (-42 %). La baisse est de 25 % pour les copropriétés», a précisé l’APCIQ jeudi.

«Le rythme exceptionnel des ventes d’unifamiliales s’étend aux copropriétés et aux plex, ce qui améliore les conditions de marché. Malgré le contexte actuel, le moment est encore excellent pour acheter!» a dit Charles Brant. Soulignons enfin que les prix des plex ont progressé de 19 % le mois dernier par rapport à 2020 dans la région de Québec, devant les copropriétés (+18 %) et les unifamiliales (+7 %). Le prix médian des plex est ainsi passé de 285 000 $ à 335 000 $, celui des unifamiliales de 259 700 $ à 279 000 $ et celui des condos de 189 000 $ à 203 950 $.

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Pas d’imposition de taxe pour les investisseurs étrangers

Contrairement à Vancouver et Toronto, Montréal n’a pas besoin d’imposer une taxe de 15 % aux investisseurs étrangers désireux d’acquérir des propriétés dans la métropole, croit la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM). Selon l’organisme, les acquisitions d’acheteurs de l’extérieur du pays ne représenteraient que 1,5 % des transactions sur le marché du Grand Montréal, contre 9,7 % à Vancouver et 4,9 % à Toronto.

 
Ce dernier plaide toutefois pour la mise en place de moyens pour suivre plus efficacement les transactions impliquant des acheteurs étrangers, afin d’avoir un juste portrait de la situation. La CIGM estime aussi que les acheteurs étrangers intéressés par Montréal et ses environs souhaitent avant tout venir s’y établir, et non spéculer en achetant et revendant des propriétés.
 

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NAD débarquera dans le Quartier des spectacles

L’Îlot Balmoral, le nouvel édifice «funky» en construction dans le Quartier des spectacles, à Montréal, hébergera l’École des arts numériques, de l’animation et du design, mieux connue sous le nom de NAD. En vertu d’un investissement de 40 millions $ financé par le gouvernement du Québec et d’un projet en gestation depuis quatre ans, NAD déménagera ses pénates dès l’été prochain, de la station de métro Parc jusqu’à la station Place-des-Arts, voisine de la place des Festivals. Un bail de 10 ans a été signé entre NAD et la Société d’habitation et de développement de Montréal (SHDM), propriétaire des lieux, pour l’occupation des étages cinq, six et sept. Le principal locataire de l’édifice sera l’Office national du film du Canada (ONF), qui s’installera sur six des treize étages.

On misera d’ailleurs sur une synergie entre les activités de formation de NAD et les forces vives de l’ONF pour donner encore plus de souffle au rayonnement du talent québécois au sein de l’industrie, que ce soit au plan local ou à l’international. NAD, qui est rattaché à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), pourra accueillera ses élèves – ils sont plus de 350 – dès la rentrée scolaire. Les nouveaux locaux de NAD permettront de plus d’assurer sa croissance, elle qui offre des programmes de baccalauréat et de maîtrise, et qui souhaite mettre en place, à court ou moyen terme, un programme de doctorat.

Il sera aussi plus facile d’y faire de la recherche et de la formation en continu auprès des 2000 diplômés de NAD ces 26 dernières années, ainsi que de tous les talents venus d’ailleurs qui s’établissent à Montréal ou ailleurs au Québec pour évoluer au sein de l’industrie. «Il s’agit non seulement d’un moment marquant dans l’histoire de notre École des arts numériques, de l’animation et du design, mais également dans l’histoire de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). En effet, il s’agit d’un des plus grands investissements de l’histoire de notre institution», a dit jeudi la rectrice de l’UQAC, Nicole Bouchard, en conférence de presse.

Suzanne Guèvremont, qui était jusqu’à tout récemment directrice générale de NAD, a défendu ce projet de relocalisation ces quatre dernières années. Elle est maintenant directrice générale du Pôle en arts et créations numériques, une initiative du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur. Elle croit que le tiers de l’édifice de l’Îlot Balmoral toujours non loué pourrait accueillir des entreprises de l’industrie.

Rappelons que l’Îlot Balmoral, un édifice signature pour lequel la SHDM vise la certification LEED Or, est en construction au coin du boulevard de Maisonneuve Ouest et de la rue Bleury. C’est la firme Provencher Roy + Associés Architectes qui l’a conçu. Son inauguration est prévue le printemps prochain. Il comprendra un rez-de-chaussée ouvert au public, des espaces commerciaux, un stationnement souterrain de 186 cases pouvant aussi accueillir jusqu’à 70 vélos. Un toit végétalisé coiffera l’immeuble aux formes irrégulières.

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Le marché immobilier poursuit son essor en Mauricie

Le marché immobilier poursuit son essor en Mauricie et les plus petites municipalités tirent leur épingle du jeu. L’essor du télétravail et le coût des maisons militent en faveur de la campagne… Et même des Trifluviens choisissent de quitter la ville. Saint-Boniface a le vent dans les voiles. Le nombre de ventes résidentielles a augmenté de 81% dans la dernière année pour atteindre 49 transactions. «Ça progresse beaucoup, Saint-Boniface. C’est proche de Trois-Rivières et proche de Shawinigan», a souligné le maire Pierre Desaulniers. Et ce n’est pas un cas isolé. Plusieurs municipalités de la Mauricie ont noté des hausses de ventes dans la dernière année.

Aux Boisés du Patrimoine de Saint-Boniface, une cinquantaine de terrains ont trouvé preneur depuis une douzaine d’années pour des autoconstructions et la demande augmente. Plusieurs acheteurs viennent de la ville. «On en a de partout à travers le Québec. On en a de Montréal, mais la majorité, c’est des gens de Trois-Rivières qui viennent s’établir ici», a mentionné le copropriétaire, Brian Austin. Le développement entame d’ailleurs une troisième phase, ce qui ajoute une dizaine de terrains.

Le prix des maisons en Mauricie, les taxes généralement abordables et les programmes gouvernementaux favorisent également l’achat d’une première maison, selon la notaire Cassy Bernier. «Il y a quand même un gros bassin de gens qui, probablement, ont pris leur budget de vacances ou autre pour venir acheter une propriété, une première maison», a-t-elle indiqué. Sans oublier la fibre optique, de plus en plus accessible, pour ceux qui pourront rester définitivement en télétravail. «La COVID a inversé l’exode», a laissé tomber le maire de Saint-Alexis-des-Monts, Michel Bourassa.

 

Courtiers immobiliers, ventes immobilière pandémie COVID-19

Les courtiers immobiliers canadiens vont se souvenir longtemps du printemps 2020, marqué par la pandémie de la COVID-19 qui a entraîné une chute record de plus de 50 % des ventes résidentielles et des nouvelles inscriptions en avril. Selon les données de l’Association canadienne de l’immeuble (ACI) dévoilées vendredi, les ventes résidentielles à l’échelle du pays se sont repliées de 56,8 %, d’un mois à l’autre en avril, ce qui constitue un record «par rapport à un mois de mars déjà plombé».

Printemps 2020, marqué par la COVID-19

L’ACI a indiqué vendredi, par communiqué, que le nombre de propriétés récemment mises en vente a diminué de 55,7 %, de mars à avril, au Canada.  Les transactions ont été 64,4 % moins nombreuses à être conclues le mois dernier dans le Grand Montréal, selon l’ACI, ce qui se compare aux autres marchés, comme le Grand Toronto (-66,2 %) et le Grand Vancouver (-54,8 %).  Au Québec, le recul cumulatif des ventes depuis février a même atteint -68,5 %.  Dans une note, l’économiste Benoit P. Durocher du Mouvement Desjardins estime que, malgré l’ampleur des effets de la crise sanitaire sur l’industrie immobilière, il y a «des éléments rassurants dans les résultats d’aujourd’hui».

«.  «Les ingrédients semblent en place pour que le marché de l’habitation puisse récupérer en bonne partie le terrain perdu lorsque les mesures de confinement seront relâchées. Des séquelles pourraient néanmoins subsister alors que le taux de chômage mettra sans doute plusieurs trimestres avant de redescendre au niveau d’avant la crise», a fait savoir M Benoit P. Durocher.

Comme attendu, la crise sanitaire a fait plonger les ventes immobilières en avril dans le Grand Montréal, avec une «baisse historique» de 68 % par rapport au même mois de l’année précédente. Mais les prix, eux, ont continué leur mouvement à la hausse. Le mois dernier, dans la Région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, à peine 1890 ventes ont été conclues, mettant fin à 61 hausses mensuelles consécutives du nombre de transactions. Il faut dire qu’il y avait 38 % moins de propriétés à vendre sur la plateforme Centris par rapport à la période correspondante de 2020.

L’imposition de mesures pour freiner la pandémie de la COVID-19, dont la mise sur pause des activités normales des courtiers immobiliers, a fait très mal à l’industrie, selon l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ).  Aucun secteur n’a été épargné par la chute des ventes, et d’autres l’ont été encore plus durement. C’est le cas de Vaudreuil-Soulanges (-74 %), Saint-Jean-sur-Richelieu et l’île de Montréal (-71 %) ainsi que Laval et la Rive-Sud (-69 %). En revanche, la Rive-Nord a subi un choc moins important, quoique tout de même significatif, avec une diminution de 61 % des ventes. Les ventes de plex ont reculé de 67 % (161 transactions), de même que celles des maisons unifamiliales (-68 % avec 1048 transactions) et des copropriétés (-69 % avec 675 transactions).

Prix en hausse au Québec – Immobilier 2022

Cela n’a pas empêché les prix de croître, notamment en raison de la rareté de l’offre sur le marché. Ainsi, le prix médian des copropriétés a crû de 12 % pour atteindre 289 900 $. Le prix médian des plex a bondi de 10 % pour se chiffrer à 595 000 $, tandis qu’il a grimpé de 9 % pour les unifamiliales à 360 000 $. «Cette chute des ventes n’est […] pas venue ralentir la progression rapide des prix alors que bon nombre de transactions se sont négociées dans un contexte de financement très favorable aux acheteurs et dans un marché aux conditions toujours extrêmement tendues», a dit Julie Saucier, présidente et chef de la direction de l’APCIQ.

 
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Baisse moindre que prévu à Québec

À Québec, léger soupir de soulagement, alors que la baisse attendue de l’activité immobilière, bien que qualifiée de «chute historique», a été moins importante qu’à Montréal, à 55 %. Ainsi, 403 transactions ont été conclues en avril et la Rive-Sud de Québec, et a même été l’un des secteurs les moins affectés par la baisse des ventes à l’échelle de la Belle Province (-42 % avec 81 transactions).

La périphérie nord de Québec (-53 % avec 56 transactions) et l’agglomération de Québec (-59 % avec 266 transactions) ont subi des reculs plus prononcés. Contrairement à la région de Montréal, la RMR de Québec a vu ses prix médians se replier en avril. Ainsi, le prix médian des unifamiliales a reculé de 2 % pour atteindre 260 000 $, comme celui des copropriétés (-4 % à 185 000 $) et celui des plex (-2 % à 322 000 $).

Hausse inégalée des ventes résidentielles

La seconde vague de la COVID-19 n’a pas eu d’impact négatif sur le marché immobilier résidentiel dans les régions de Québec et de Montréal, qui ont connu une «hausse historique» en octobre.  C’est ce qu’a fait savoir mardi l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) en dévoilant ses données pour le mois dernier. Dans la région de Montréal, les données indiquent une «hausse historique de 37% des ventes en octobre», par rapport au même mois, l’an dernier, selon Charles Brant, directeur du Service de l’analyse du marché à l’APCIQ. Dans le même temps, l’Association constate une baisse toujours substantielle des inscriptions en vigueur dans les secteurs périphériques à l’île.

Les plus fortes progressions sont observées dans les marchés comme Vaudreuil-Soulanges (+63%), la Rive-Nord (+52 %) et Laval (+38%). D’autres affichent aussi des hausses remarquables. C’est le cas de Saint-Jean-sur-Richelieu (+33%), la Rive-Sud (+31%) et l’île de Montréal (+29%) Par ailleurs, l’APCIQ fait état de croissance des ventes pour les immeubles à revenus (plex) et la copropriété (+37 %), et même l’unifamiliale (+36%). De plus, les prix médians ont continué d’augmenter dans l’unifamiliale (+21%), la copropriété (+16%) et les petits immeubles à revenus (+12%).

Le marché immobilier 2022 de la région du Québec

Les ventes résidentielles ont bondi de 45% dans le marché immobilier de la région du Québec, tandis que les inscriptions ont diminué de 40%. Le prix médian des unifamiliales a aussi crû de 6% par rapport au mois d’octobre 2020. «Québec continue d’être en tête des régions métropolitaines dont les conditions de marché se resserrent le plus vite à l’avantage des vendeurs, a noté Charles Brant. On note une hausse de 45% des ventes et une chute supplémentaire des inscriptions, du jamais-vu pour un mois d’octobre.»

Mentionnons notamment les records de ventes pour les immeubles à revenus (plex) (+65%), les copropriétés (+61%) et l’unifamiliale (+38%). Dans la région de Québec, comme de Montréal, les chiffres de l’APCIQ sont basés sur les données du système Centris. On observe aussi, en octobre, un nombre record de visites sur le site centris.ca, soit un bond de 71% par rapport à la même période l’an passé.

Source : JDC – JDMAgence QMI

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