Vivre en banlieue de Montréal
Préapprobation hypothécaire en 24 heures!!!
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Vivre en banlieue de Montréal
Une étude a observé que les jeunes ménages qui quittent l’île de Montréal pour acheter une maison unifamiliale en banlieue ont tendance à économiser, même en incluant la hausse conséquente des coûts du transport vers leur lieu de travail. Dans une note intitulée Le marché sous la loupe, la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) a observé que chez les ménages de personnes âgées de 25 à 44 ans qui ont quitté Montréal en 2016 pour acheter une maison unifamiliale sur la Rive-Sud et à Laval, les paiements hypothécaires ont diminué d’environ 485 $. Les ménages partis s’installer sur la Rive-Nord ont quant à eux économisé 650 $ par mois.
C’est toutefois sur la Rive-Nord que l’ajout des frais de transport a fait le plus réduire les économies sur les paiements hypothécaires. Les économies mensuelles ont alors chuté de 650 $ à environ 380 $. L’exode des ménages citadins se poursuivra si les prix des maisons unifamiliales continuent d’augmenter plus vite sur l’île de Montréal qu’en banlieue, comme c’est le cas depuis quelques années, selon la SCHL. Cette migration pourrait même devenir plus avantageuse si le transport public et les technologies favorisant le télétravail continuent de s’améliorer.
Réaliser des économies en banlieue
De nouveaux modes de transport collectif dans la région de Montréal qui diminuerait le coût et/ou le temps de déplacement vers le lieu de travail permettront sans doute aussi aux ménages qui migrent en banlieue de réaliser des économies encore plus grandes lors de l’achat d’une habitation [en incluant les frais de déplacement] », souligne l’agence fédérale dans sa note. La Caisse de dépôt et placement du Québec pilote actuellement la construction du Réseau express métropolitain (REM), dont les 67 kilomètres relieront la Rive-Sud, l’Ouest-de-l’Île (Sainte-Anne-de-Bellevue), la Rive-Nord (Laval et Deux-Montagnes) et l’aéroport avec le centre-ville de Montréal.
Ce système de métro léger automatisé et électrique devrait entrer en service à partir de 2021 et promet de réduire la durée des déplacements quotidiens entre la métropole et ses banlieues. L’étude de la SCHL précise toutefois que l’incidence du temps accru des déplacements vers le travail sur les économies conçues sur les paiements hypothécaires dépend de la valeur accordée à ce temps par les citadins devenus des résidents des banlieues. La recherche signale par exemple que le temps accru pour les gens qui ont quitté Montréal pour Laval ou la Rive-Nord devrait valoir environ 37 $ l’heure pour que le déplacement en vaille plus le coût. Par comparaison, le salaire horaire moyen dans la région métropolitaine de Montréal se situait entre 23 et 28 $ en 2016.
Nature sport et culture à Repentigny
Avec son Centre d’art Diane Dufresne riche en expositions d’intérêt, son Stade de hockey et son Skate Plaza, Repentigny fait tout pour assurer une vie confortable aux familles et aux jeunes. Les amoureux de nature y apprécient de plus, tout comme de nombreux Montréalais, sa rivière des Mille-Îles et son avifaune exceptionnelle.
Charlemagne mérite d’être mieux connue
Au confluent du fleuve Saint-Laurent, de la rivière des Prairies, de la rivière des Mille-Îles et de la rivière de L’Assomption, la ville natale de Céline Dion chérit ses enfants, notamment les plus défavorisés. La Fondation Maman Dion, dont les nouveaux locaux ont ouvert sur les ruines de la maison natale de la chanteuse actuellement en tournée mondiale, aide chaque année 2000 enfants défavorisés avec une trousse scolaire. C’est un peu l’esprit de cette petite bourgade sympathique située sur l’Assomption face à Repentigny. On peut imaginer que dans les années à venir de plus en plus de structures verront le jour autour du succès de la légendaire chanteuse.
Des logements en vue à Terrebonne
Il a été relevé en 2016 dans une analyse produite par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) que les loyers étaient en moyenne moins élevée à Terrebonne qu’à Mascouche : 709$ contre 765$ respectivement (744$ pour Montréal). De plus, un nombre grandissant de maisons à vendre à Terrebonne vise à inverser la pénurie habituelle de logements dans la MRC Les Moulins. Plus de logements et moins chers qu’ailleurs dans la couronne nord, voilà une excellente nouvelle !
Laval une ville en pleine transformation
Plus proche de l’aéroport international de Mirabel que Montréal, Laval attire toujours une clientèle d’affaires. Mais ces dernières années les nouveaux habitants se sont diversifiés. Phénomène récent, mais qui revêt de l’importance, il n’est plus nécessaire d’aller « en ville » pour assister à des spectacles de qualité. Avec sa nouvelle offre sportive et culturelle sur toute la couronne nord Place Bell Comotion, Cabaret BMO, Zénith la région capte de plus en plus de jeunes familles.
Jeunesse et avenir Blainville
Jeune banlieue à 30 min de Montréal, Blainville ne possède pas le charme des vieilles pierres, mais s’est donné pour but d’attirer une clientèle de jeunes familles à la recherche de la tranquillité des quartiers d’unifamiliales typiques d’Amérique du Nord. Avec plus de plus de 40 % d’espaces verts et de milieux naturels et son Parc équestre c’est une des villes proches de Montréal les plus agréables à vivre pour la classe moyenne supérieure.
Maison unifamiliale en banlieue
À Montréal, les jeunes ménages qui quittent la ville pour acheter une maison unifamiliale en banlieue ont tendance à économiser. C’est vrai même en incluant les coûts du transport vers leur lieu de travail. S’éloigner pour acheter : une solution à la hausse des prix des habitations C’est un phénomène de plus en plus courant depuis quelques années. Les ménages qui veulent acheter une habitation s’éloignent en raison de la hausse des prix dans les centres urbains. Dans les secteurs centraux des villes, les habitations sont devenues trop chères pour un grand nombre de ménages. Les ménages s’éloignent donc de plus en plus pour trouver une habitation abordable dont le prix correspond à leur capacité d’emprunt.
Dans le dernier Marché sous la loupe de Montréal, nous déterminons s’il est avantageux pour les ménages de quitter la ville pour acheter en banlieue. Et nous voyons si les ménages qui quittent la banlieue pour s’éloigner encore plus réalisent, eux aussi, des économies. Généralement, une habitation comparable sera moins chère en banlieue qu’en ville. Mais vivre en banlieue peut faire croître le temps et le coût des déplacements. Ces coûts et ce temps accrus peuvent annuler les économies constituées sur le prix du logement.
Temps accru des déplacements
Les habitations sont moins chères en banlieue, mais les économies totales varient Notre analyse porte sur les ménages de 25 à 44 ans ayant acheté une maison unifamiliale en 2016. Ce groupe d’âge et ce type d’habitation sont au cœur des mouvements migratoires observés chez les ménages montréalais chaque année. Voici quelques constatations : Chaque année, des milliers de ménages montréalais déménagent en banlieue afin d’acheter une maison unifamiliale. Certaines zones de banlieue, dont Laval et Longueuil, perdent aussi des ménages au profit de secteurs encore plus éloignés. Une partie de ces ménages continuent de travailler dans le secteur qu’ils habitaient auparavant. Ils voient donc augmenter le coût et la durée de leurs déplacements.
Les économies sur le coût d’acquisition d’une maison unifamiliale varient selon les secteurs. Pour les ménages ayant quitté la ville de Montréal pour la Rive-Sud ou Laval, les paiements hypothécaires diminuaient d’environ 485 $. Les ménages partis s’installer sur la Rive-Nord économisaient encore plus, soit 650 $ par mois. C’est sur la Rive-Nord que l’ajout des frais de transport fait le plus diminuer les économies sur les paiements hypothécaires. Mais malgré cela, le déménagement en valait le coût pour les ménages de Montréal partis s’y installer. Leurs économies mensuelles, autour de 650 $, descendaient à environ 380 $ après l’ajout des frais de transport. Pour les mouvements à l’intérieur de la banlieue, les résultats sont plus mitigés. Les maisons unifamiliales achetées en banlieue ou encore plus loin de la métropole étaient souvent relativement grandes et récentes.
Le temps accru des déplacements vers le travail annule-t-il les économies réalisées sur les paiements hypothécaires? Tout dépend de la valeur accordée à ce temps par les citadins devenus de nouveaux résidents de la banlieue. Prenons par exemple ceux ayant quitté Montréal pour Laval ou la Rive-Nord : ce temps accru devrait valoir autour de 37 $ l’heure pour que le déplacement n’en vaille plus le coût. Par comparaison, le salaire horaire moyen dans la région métropolitaine de Montréal se situait entre 23 et 28 $ en 2016. La migration se poursuivra sans doute si les prix continuent de croître dans la ville L’exode des ménages citadins se poursuivra si les prix des maisons unifamiliales continuent d’augmenter plus vite sur l’île de Montréal qu’en banlieue. Cette migration pourrait même devenir encore plus avantageuse si le transport public et les technologies favorisant le télétravail continuent de s’améliorer.