Hausse de 15% des prix des propriétés récréatives canadiennes (en 2023)

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Hausse de 15% des prix des propriétés récréatives canadiennes (en 2023)

Cet article est seulement à titre indicatif.

Faits saillants:

  • Le prix d’une propriété récréative en Ontario et dans le Canada atlantique devrait observer l’appréciation la plus élevée en 2021, avec une hausse de 17 %, tandis que les prix dans les marchés du Québec et de la Colombie-Britannique devraient grimper de 15 % et de 13 %, respectivement.
  • La demande continue à dépasser l’offre : 91 % des experts en propriétés récréatives rapportent des inventaires plus faibles que la normale pour leurs régions.
  • 46 % des courtiers immobiliers récréatifs interrogés observent une augmentation de la migration interprovinciale, alors que de nombreux Canadiens choisissent la campagne et les chalets plutôt que les paysages urbains comme toile de fond pour leur bureau à domicile

Selon Royal LePage, le prix de l’agrégat des propriétés dans les régions récréatives du Canada devrait augmenter de 15 % en 2021 pour s’établir à 502 730 $, alors que la demande continue de dépasser rapidement l’inventaire. L’entreprise a révisé à la hausse ses prévisions relatives aux propriétés récréatives pour 2021, publiées en novembre 2020, afin de tenir compte de la demande croissante non comblée des acheteurs potentiels, qui continuent de rechercher activement des propriétés.

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Le prix de l’agrégat des propriétés dans les régions récréatives du Canada a augmenté de 16,0 % comparativement au même trimestre en 2019 pour s’établir à 437 156 $ en 2020. Au cours de la même période, le prix de l’agrégat des propriétés au bord de l’eau a augmenté de 9,8 % pour atteindre 813 385 $, tandis que celui d’un appartement en copropriété a grimpé de 10,5 % pour se fixer à 310 257 $.

Les propriétés dans les régions récréatives de l’Ontario et du Canada atlantique devraient connaître la plus forte appréciation des prix au pays cette année, avec une hausse de 17 %, tandis que les prix au Québec et en Colombie-Britannique devraient augmenter de 15 % et de 13 %, respectivement. Dans le cadre d’un sondage effectué auprès de 190 professionnels de l’immobilier récréatif de Royal LePage à travers le pays, 91 % des répondants ont indiqué que l’inventaire de propriétés disponibles que normale pour leurs régions respectives avait été plus faible comparativement aux années précédentes, dont 72 % témoignant d’un inventaire beaucoup plus faible.

Dans bon nombre de régions, les pénuries d’inventaire entraînent des scénarios d’offres multiples, qui se traduisent souvent par des ventes au-dessus du prix affiché pour l’inscription. En Ontario, 87 % des professionnels d’immobilier récréatif ont déclaré que plus de la moitié des propriétés disponibles sur le marché se vendent au-dessus du prix demandé. Au Québec et en Colombie-Britannique, cette proportion passe à 65 % et 52 %, respectivement.

« La situation de faible inventaire et de forte demande qui définit le paysage immobilier actuel du Canada peut être frustrante pour les acheteurs et leurs courtiers, a poursuivi M. Soper. Faute d’une offre suffisante pour répondre à la demande, les prix continuent d’augmenter à des taux supérieurs à la normale. En outre, avec si peu d’inscriptions parmi lesquelles choisir, les propriétaires craignent de n’avoir nulle part où aller s’ils vendent avant d’acheter, alors ils hésitent à mettre leur propriété sur le marché. C’est un cercle vicieux qui entraîne des difficultés pour tous. »

« La pandémie a rendu la vie à la campagne et au chalet plus attrayante que jamais, dans toutes les régions du pays. La flexibilité offerte par le télétravail, les économies réalisées en passant des mois à la maison et les faibles taux d’intérêt ont encouragé les Canadiens, jeunes et moins jeunes, à chercher des propriétés plus spacieuses offrant un accès facile à la nature et la possibilité d’atteindre l’élusif équilibre travail-vie personnelle. De plus, un nombre croissant de nouveaux propriétaires ont l’intention d’utiliser ces refuges pour s’amuser la fin de semaine et y travailler du lundi au vendredi. »

Les professionnels de l’immobilier de Royal LePage de l’Ouest et du Canada atlantique ont signalé une augmentation du nombre d’acheteurs provenant de l’extérieur de ces provinces au cours de la dernière année. Tous les experts des régions récréatives des Maritimes et plus des deux tiers (68 %) de ceux de la Colombie-Britannique ont déclaré avoir observé une augmentation de la migration interprovinciale cette année.

La jeune génération est un segment d’acheteurs très actif. Un récent sondage de Royal LePage publié le mois dernier sur les tendances immobilières chez les Canadiens âgés de 25 à 35 ans a permis de constater que s’ils avaient le choix, 47 % des répondants opteraient pour la vie dans une petite ville ou à la campagne, tandis que 45 % préféreraient vivre en ville. Près des deux tiers des Canadiens de ce groupe d’âge (63 %), qui ont un emploi ou qui sont à la recherche d’un emploi, rapportent que la capacité de travailler pour un employeur qui permet le télétravail est importante. Quelque 52 % des répondants ont déclaré que la possibilité de travailler à distance augmentait leur probabilité de s’éloigner de leur lieu de travail actuel ou futur. Dans l’ensemble, 39 % des répondants de cette cohorte envisagent de déménager de leur domicile actuel vers un secteur moins densément peuplé en raison de la pandémie, tandis que 46 % ont déclaré que la crise sanitaire n’a eu aucun impact sur leur désir de déménager dans une telle région.

« Selon nos recherches, l’accès à Internet haute vitesse et la capacité de travailler à distance sont parmi les principaux critères pour ceux qui recherchent des propriétés dans les régions récréatives du Canada, suivis de près par la possibilité d’être utilisées en toute saison, note M. Soper. C’est indéniable : la pandémie a eu des répercussions sur notre mode de vie, mais aussi sur notre état d’esprit. Plus les Canadiens passent de temps chez eux, plus leurs besoins et leurs priorités deviennent apparents. »

Tableau des données sur le prix de 2020 et prévisions sur les prix pour les propriétés récréatives de Royal LePage pour le printemps 2021

Canada atlantique

Le prix de l’agrégat des propriétés dans les régions récréatives du Canada atlantique devrait augmenter de 17 % en 2021 pour s’établir à 226 961 $. En 2020, le prix de l’agrégat dans les marchés récréatifs des Maritimes a augmenté de 12,3 % par rapport à l’année précédente pour s’établir à 193 984 $. Au cours de la même période, le prix de l’agrégat d’une propriété riveraine a augmenté de 18,8 % pour atteindre 255 222 \$, tandis que le prix médian d’une copropriété dans la région a quant à lui augmenté de 20,8 % pendant la même période pour atteindre 260 297 \$.

Selon un sondage de Royal LePage auprès d’experts en propriétés récréatives, 73 % des répondants du Canada atlantique ont signalé une augmentation importante du nombre d’acheteurs provenant d’autres provinces par rapport aux années précédentes. Ce sont 40 % des experts de la région représentant des acheteurs qui ont déclaré que leurs clients font en moyenne quatre à sept offres avant de conclure une transaction. Entre-temps, 60 % de ceux qui travaillent principalement avec des vendeurs affirment que les propriétés de leurs clients reçoivent en moyenne quatre à sept offres.

« Les achats à l’aveugle sont de plus en plus courants à Shediac aujourd’hui », remarque Heather FitzGerald, professionnelle de l’immobilier chez Royal LePage Atlantic à Moncton, au Nouveau-Brunswick. « La plupart des acheteurs de l’extérieur de la province viennent de l’Ontario, du Québec et de la Colombie-Britannique. Certains sont des retraités qui rentrent chez eux ou réalisent leur rêve de posséder une maison de vacances dans les Maritimes, tandis que d’autres sont de jeunes professionnels qui ont choisi un chalet au bord de l’eau comme résidence principale. Le télétravail leur a offert cette possibilité. »

Tous les experts de propriétés récréatives de Royal LePage signalent également que toutes les régions récréatives du Canada atlantique ont vu leur inventaire diminuer comparativement aux niveaux observés ces dernières années; en effet, plus de la moitié des répondants ont déclaré un inventaire nettement inférieur à celui des années précédentes.

« L’offre est à son plus bas depuis longtemps, ce qui conduit à un marché hautement concurrentiel et se traduit souvent par des scénarios d’offres multiples », observe Kirk Richards, courtier immobilier pour l’agence Royal LePage Atlantic à Greenwood, en Nouvelle-Écosse. « Bien que je m’attende à voir une augmentation de l’inventaire ce printemps, ce ne sera probablement pas suffisant pour satisfaire la demande croissante. En outre, comme les acheteurs de l’extérieur de la ville sont très actifs dans la région, les gens du coin sont exclus du marché. »

Selon le Sondage démographique 2021 de Royal LePage publiée le mois dernier, 43 % des personnes âgées de 25 à 35 ans du Canada Atlantique indiquent que la pandémie a stimulé leur désir de déménager dans une zone moins densément peuplée, et 68 % disent qu’ils préféreraient vivre dans une petite ville ou à la campagne plutôt qu’en ville. 

Québec

Le prix de l’agrégat d’une propriété dans les marchés récréatifs du Québec devrait augmenter de 15 % en 2021 pour atteindre 291 993 $. En 2020, le prix médian d’une maison unifamiliale dans les marchés récréatifs du Québec a observé une hausse de 18,8 % d’une année sur l’autre pour atteindre 253 907 \$. Le prix d’une maison riveraine s’est accru de 23,6 % d’une année sur l’autre pour atteindre 335 633 $. Le prix médian d’une copropriété dans ces marchés a quant à lui augmenté de 19,3 % pendant la même période pour atteindre 225 202 $.

« La demande demeure excessivement forte pour les marchés récréatifs du Québec », confirme Éric Léger, courtier immobilier, Royal LePage Humania, dans les Laurentides. « On est au plus fort de la vague de demande présentement et il y a un besoin criant d’inventaire de propriétés. En moyenne, les délais de vente sont passés d’environ 60 jours en 2019 à environ 10 jours en 2020 et il est fréquent de recevoir plus de 5 offres sur une propriété. »

Les acheteurs doivent prévoir un budget additionnel d’approximativement 20 % aujourd’hui par rapport à l’année dernière pour pouvoir mettre la main sur une propriété de choix, bien située et entretenue. Le courtier constate aussi que le manque d’inventaire incite les acheteurs à modifier leurs critères de recherche de propriétés.

« L’offre est tellement limitée que les acheteurs à la recherche d’une résidence principale pour faire du télétravail élargissent leur territoire de recherche, en autant que l’accès à Internet haute vitesse ne soit pas un enjeu. En moyenne, dans les Laurentides, il s’agit d’une augmentation de 30 % du rayon de recherche, ce qui peut équivaloir à plus ou moins 30 kilomètres de plus qu’il y a un an. Les acheteurs sont très déterminés à acheter et à faire des concessions sur les conditions d’achat », affirme M. Léger.

Selon un sondage mené auprès d’experts en immobilier récréatif de Royal LePage, 67 % des courtiers travaillant auprès des acheteurs disent que leurs clients font entre quatre et dix offres en moyenne avant de mettre la main sur une propriété. De leur côté, les courtiers travaillant principalement avec des clients vendeurs disent recevoir un minimum de quatre offres en moyenne sur leurs inscriptions, et 16 % de ces courtiers déclarent qu’ils reçoivent plus de dix offres sur chaque inscription.

La pénurie d’inventaire s’est intensifiée notamment par le fait que les acheteurs plus âgés, considérés comme l’un des principaux segments de vendeurs ces dernières années, ont été plus absents du marché depuis le début de la pandémie. En parallèle, les jeunes acheteurs  recherchent activement des occasions de quitter leur appartement en ville ou souhaitent accroître leur qualité de vie en emménageant dans une propriété plus spacieuse au pays des chalets. Par ailleurs, 81 % des experts récréatifs de Royal LePage rapportent une diminution importante de l’inventaire au cours de la dernière année.

« Les propriétaires plus âgés tardent à mettre leur propriété sur le marché en raison de la pandémie. Pour plusieurs, trouver un nouveau logement serait un défi dû au faible inventaire et à la hausse des prix et les craintes concernant COVID-19 demeurent une préoccupation pour les personnes âgées. À l’opposé, la demande des jeunes acheteurs grimpe, tandis qu’ils aspirent à plus d’espace intérieur et extérieur pour vivre, jouer et travailler. Le progrès du processus de vaccination devrait mener à une éventuelle augmentation de l’inventaire. Et, le retour aux activités habituelles, comme les voyages, viendra atténuer la demande. » 

Ontario

Le prix de l’agrégat des propriétés dans les régions récréatives de l’Ontario devrait augmenter de 17 % en 2021 pour s’établir à 547 207 $. En 2020, le prix de l’agrégat dans les marchés récréatifs de la province a augmenté de 19,4 % par rapport à l’année précédente pour s’établir à 467 698 $. Au cours de la même période, le prix de l’agrégat des propriétés au bord de l’eau a augmenté de 21,5 % pour atteindre 673 400 $, tandis que celui d’un appartement en copropriété a grimpé de 8,5 % pour se fixer à 406 188 $.

Dans le cadre d’un sondage réalisé par Royal LePage auprès d’experts en propriétés récréatives, 87 % des répondants ont rapporté que les régions récréatives de l’Ontario ont vu leur inventaire diminuer comparativement aux niveaux typiques des dernières années, y compris la destination de Muskoka très prisée des amateurs de chalets, au nord de Toronto.

« Muskoka, comme de nombreuses petites collectivités situées à une distance raisonnable de la région du Grand Toronto, a été particulièrement touchée par l’exode urbain de la métropole et par les acheteurs qui ont accéléré leurs plans à long terme pour se procurer une résidence secondaire », remarque John O’Rourke, courtier pour le compte de l’agence Royal LePage Lakes of Muskoka. « La rareté des inscriptions a jeté de l’huile sur le feu, créant une concurrence jamais vue sur le marché. »

Parmi les experts ontariens représentant des acheteurs interrogés, 56 % ont déclaré que leurs clients font en moyenne quatre à dix offres avant de conclure une transaction. Entre-temps, 69 % de ceux qui travaillent principalement avec des vendeurs affirment que les propriétés de leurs clients reçoivent en moyenne un minimum de quatre offres, 27 % d’entre eux affirment recevoir plus de dix offres sur chaque inscription.

« La région de Land O’Lakes ne connaît généralement pas ce type d’activité, mais depuis le début de la pandémie, l’offre ne peut pas suivre la demande croissante », souligne Chris Winney, courtier pour l’agence Royal LePage ProAlliance Realty. « Étant donné que personne n’a pu voyager au cours de la dernière année, les acheteurs de tous âges et de tous les stades de la vie recherchent des propriétés récréatives qui offrent la flexibilité et la qualité d’accès à Internet qui leur permettront de travailler à distance s’ils le souhaitent, mais qui possèdent aussi un potentiel locatif. »

Les propriétés utilisables durant les quatre saisons sont particulièrement attrayantes pour les acheteurs de l’Ontario, et les experts s’attendent à un vif marché printanier.

Selon le Sondage démographique de Royal LePage 2021 publiée le mois dernier, 43 % des personnes âgées de 25 à 35 ans de l’Ontario indiquent que la pandémie a stimulé leur désir de déménager dans une zone moins densément peuplée, et 68 % disent qu’il est important pour eux de travailler pour un employeur qui leur permet le télétravail. 

Prairies

Le prix de l’agrégat des propriétés dans les régions récréatives des Prairies devrait augmenter de 9 % en 2021 pour s’établir à 260 862 $. En 2020, le prix de l’agrégat dans les marchés récréatifs des Prairies a augmenté de 21,8 % par rapport à l’année précédente pour s’établir à 239 323 $. Au cours de la même période, le prix de l’agrégat d’une propriété riveraine a augmenté de 18,2 % pour atteindre 377 793 $.

Selon un sondage de Royal LePage auprès d’experts en propriétés récréatives, seuls 25 % des répondants des Prairies ont signalé une augmentation du nombre d’acheteurs d’autres provinces par rapport aux années précédentes. Ils ont assisté à quelques scénarios d’offres multiples, ce qui n’est pas typique de la région. Parmi les experts des Prairies représentant des acheteurs interrogés, 20 % ont déclaré que leurs clients font en moyenne quatre à sept offres avant de conclure une transaction. De la même façon, 20 % de ceux qui travaillent principalement avec des vendeurs affirment que les propriétés de leurs clients reçoivent de quatre à sept offres sur chaque inscription.

Les principaux critères pour les acheteurs à la recherche d’une propriété récréative dans les Prairies sont la possibilité de l’utiliser durant les quatre saisons, l’accès au bord de l’eau et la proximité de la ville.

« La région d’Interlake présente de nombreux avantages, notamment un accès au lac toute l’année et des attraits comme la pêche, le camping et les sports nautiques », indique Tyler Bucklaschuk, courtier immobilier à l’agence Royal LePage JMB & Associates. « Située à une courte distance en voiture de Winnipeg, il s’agit d’une destination de vacances très attrayante; un endroit parfait pour s’évader la fin de semaine ou même faire du télétravail. Le défi consiste à trouver une propriété et à conclure la transaction. »

Le courtier s’attend à ce que la pénurie de l’offre demeure un obstacle tout au long du printemps, exerçant une pression à la hausse sur les prix. Toujours selon notre sondage, 88 % des experts en propriété récréative de Royal LePage de la région signalent une diminution de l’inventaire comparativement aux niveaux observés ces dernières années.

«. L’intensification de la concurrence et la faiblesse de l’inventaire ont parfois donné lieu à des scénarios d’offres multiples, ce qui n’est pas typique dans la région. »

Selon un sondage démographique de Royal LePage 2021 publiée le mois dernier, 41 % des personnes âgées de 25 à 35 ans dans les Prairies indiquent que la pandémie a stimulé leur désir de déménager dans une zone moins densément peuplée, et 52 % disent qu’il est important pour eux de travailler pour un employeur qui leur permet le télétravail.

Alberta

Le prix de l’agrégat des propriétés dans les régions récréatives de l’Alberta devrait augmenter de 6 % en 2021 pour s’établir à 942 811 $. En 2020, le prix de l’agrégat dans les marchés récréatifs de la province a augmenté de 9,5 % par rapport à l’année précédente pour s’établir à 889 510 $.

En tant que vaste marché récréatif, ce sont les refuges nichés dans les Rocheuses de Canmore qui ont le plus d’incidence sur le prix médian d’une maison unifamiliale sur les marchés récréatifs de l’Alberta en raison de la proximité de la ville avec le parc national de Banff et de luxueuses propriétés montagnardes.

« Canmore voit une demande sans précédent de la part de personnes qui souhaitent accélérer leurs projets de vie et se concentrer sur leur santé physique et mentale », remarque Brad Hawker, dirigeant de l’agence Royal LePage Rocky Mountain Realty. « Un segment croissant d’acheteurs jeunes et d’âge moyen est à la recherche de résidences principales dans la région. S’ils peuvent travailler à distance de n’importe où, ils veulent vivre dans un endroit qui répond à leur style de vie actif et aventureux. »

Selon un sondage de Royal LePage auprès d’experts en propriétés récréatives, 44 % des répondants albertains ont signalé une augmentation du nombre d’acheteurs d’autres provinces par rapport aux années précédentes. La demande et les prix continuent d’augmenter dans les régions récréatives facilement accessibles à partir d’Edmonton et de Calgary. Les experts de l’Alberta rapportent que 78 % des marchés récréatifs ont vu leur inventaire diminuer comparativement aux niveaux observés ces dernières années.

«. Anne Lake sont des régions récréatives raisonnablement abordables, et le court trajet depuis la ville rend ces zones attrayantes pour ceux qui cherchent à échapper aux centres urbains. Je m’attends à ce que le manque d’inventaire mette les acheteurs au défi ce printemps. »

Selon le sondage démographique de Royal LePage 2021 publiée le mois dernier, 32 % des personnes âgées de 25 à 35 ans de l’Alberta indiquent que la pandémie a stimulé leur désir de déménager dans une zone moins densément peuplée, et 60 % disent qu’il est important de travailler pour un employeur qui leur permet le télétravail.

Colombie-Britannique

Le prix de l’agrégat des propriétés dans les régions récréatives de la Colombie-Britannique devrait augmenter de 13 % en 2021 pour s’établir à 781 918 $. En 2020, le prix de l’agrégat dans les marchés récréatifs de la province a augmenté de 12,9 % par rapport à l’année précédente pour s’établir à 691 963 $. Au cours de la même période, le prix de l’agrégat des propriétés au bord de l’eau a augmenté de 2,7 % pour atteindre 1 784 872 $, tandis que celui d’un appartement en copropriété a grimpé de 3,9 % pour se fixer à 340 812 $.

Selon un sondage de Royal LePage auprès d’experts en propriétés récréatives, 68 % des répondants de la Colombie-Britannique ont signalé une augmentation du nombre d’acheteurs d’autres provinces par rapport aux années précédentes. Ce sont 40 % des experts de la région représentant des acheteurs qui ont déclaré que leurs clients font en moyenne quatre à sept offres avant de conclure une transaction.

Entre-temps, 40 % de ceux qui travaillent principalement avec des vendeurs affirment que les propriétés de leurs clients reçoivent quatre à sept offres sur chaque inscription. Parmi les experts régionaux interrogés, 88 % signalent une baisse considérable de l’inventaire du marché des propriétés récréatives en Colombie-Britannique comparativement aux niveaux typiques pour ces régions.

« Notre plus grand défi à l’heure actuelle est l’inventaire extrêmement bas et la demande accrue des acheteurs », souligne Francis Braam, courtier pour l’agence Royal LePage Kelowna. « Je m’attends à observer des hausses de prix à deux chiffres dans la région de Central Okanagan. Les Canadiens passeront un autre été chez eux, ce qui piquera encore plus leur intérêt pour le marché de l’immobilier récréatif. »

À Whistler et à Pemberton, le télétravail et les faibles coûts d’emprunt restent un moteur de la hausse des prix.

« Je prévois un marché printanier dynamique foisonnant d’activité », résume Frank Ingham, courtier associé de l’agence Royal LePage Sussex. « Nous devrions assister à une hausse de l’offre, même si cela ne suffira toujours pas à satisfaire la demande, étant donné le rythme à laquelle elle augmente. Chaque acheteur possède sa propre motivation, mais l’état d’esprit et les priorités d’une très grande majorité de Canadiens sont en métamorphose. Ils ressentent l’appel de l’espace et de l’air frais et souhaitent avoir accès à la nature et à la faune. »

Selon le sondage démographique de Royal LePage 2021 publiée le mois dernier, 35 % des personnes âgées de 25 à 35 ans de la Colombie-Britannique indiquent que la pandémie a stimulé leur désir de déménager dans une zone moins densément peuplée, et 63 % disent qu’il est important pour eux de travailler pour un employeur qui leur permet le télétravail.

Rapport sur les propriétés récréatives de Royal LePage

Le rapport de Royal LePage sur les propriétés récréatives compile des observations, des données et des prévisions provenant de 51 marchés. Les données médianes sur les prix ont été compilées et analysées par Royal LePage pour la période du 1er janvier au 31 décembre 2020 et du 1er janvier au 31 décembre 2019. Les données ont été obtenues par l’entremise des chambres immobilières de conseils locaux dans chacune des régions. Le prix de l’agrégat des propriétés avancé par Royal LePage est fondé sur un modèle pondéré composé de prix médians. Les données sont fondées sur un seuil minimum de transactions et sur la disponibilité des données spécifiques aux types de propriétés à l’étude dans ce rapport. Les prix de l’agrégat pourraient avoir changé comparativement aux rapports précédents, dû à une hausse du nombre de régions couvertes dans le rapport. 

Sondage des conseillers en propriétés récréatives de Royal LePage

Un sondage national réalisé en ligne auprès de 190 courtiers immobiliers au service des acheteurs et des vendeurs dans les régions récréatives du Canada. Le sondage a été mené entre le 5 et le 18 mars 2021.

À propos de Royal LePage

Au service des Canadiens depuis 1913, Royal LePage est le premier fournisseur au pays de services aux agences immobilières, grâce à son réseau professionnels de l’immobilier répartis dans 600 bureaux partout au Canada. Royal LePage est la seule entreprise immobilière au Canada à posséder son propre organisme de bienfaisance, la Fondation Un toit pour tous de Royal LePage, qui vient en aide aux centres d’hébergement pour femmes et enfants ainsi qu’aux programmes éducatifs visant à mettre fin à la violence familiale. Royal LePage est une société affiliée de Bridgemarq Real Estate Services inc., entreprise inscrite à la Bourse de Toronto sous le symbole « TSX:BRE ».

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